We are UCK !

Info exclusive : cette saison 2015-2016 marquera le retour au bercail des filles Le Priellec! Pour cette occasion, Lise, Justine et leur mère Cathy se sont prêtées au jeu de l’interview. Lors d’une discussion croisée, elles nous racontent leur histoire et leurs ambitions dans ce club qui les a vues grandir. Pour elles, l’UCKNEF et le basket sont avant tout une histoire de famille, une passion qui se transmet de génération en génération. 

 

A quoi ressemblait un weekend type il y a 15 ans, c'est-à-dire en 2000 ? 

 

Justine : J’étais en minime et Lise devait être en poussine. On venait souvent voir jouer Maman au basket.

 

Lise : En fait, tous nos samedis se passaient dans la salle du bondon.

 

Cathy : Avec les seniors filles à l’époque, on jouait au plus haut niveau de région. Et l’équipe de Mickael (l’oncle de Lise et Justine) jouait aussi en équivalent PN. Par contre au niveau de la cohésion entre filles et gars, on était plutôt séparés à l’époque, ce n’était pas comme cette année. Et les équipes jouaient à la salle Omnisport, avant que le volley ait la priorité. Mais c’est mieux ici au Bondon, c’est plus convivial et c’est plus facile au niveau de l’intendance. Après nos matchs on restait boire l’apéro au foyer comme les filles cette année, chacune amenait sa tambouille. A mon époque puis même quand Lise jouait en senior, ça a toujours été comme ça avec entre filles. L’objectif ce n’était plus la gagne mais être ensemble.

 

Un souvenir marquant à l’UCKNEF

 

Lise : Les retours de match dans le minibus en cadettes, on chantait etc. c’était de bons moments !

 

Cathy : Lorsque l’équipe féminine où j’étais et l’équipe masculine ont toutes les deux été en finale de la coupe du Morbihan. 

 

Justine : Mon 1er match en poussine… on avait pris 104 à 4 !

 

> Quels ont été vos parcours sportifs ? 

 

Cathy

Justine

Lise

J’ai débuté à 11 ans puis toujours fidèle au club depuis 1969.

 

 

 

2 ans de gym avant de tester un entrainement de basket : j’ai alors dit « j’arrête la gym je ne veux que faire du basket ». J’avais 7 ans.

6 mois de gym puis je me suis mise au basket à 7 ans comme ma sœur.

2 ans de minimes région en entente avec Auray. Et j’étais au pôle espoir de st Brieuc la semaine.

Benjamines région à l’UCKNEF puis en entente à St Avé pour la 2ème année

Cadette nation à 15 ans à l’Avenir de Rennes puis à Pleyber-Christ durant mes années lycée.

Minimes région avec l’UCKNEF puis j’ai été à St Avé en licence T.

2 ans de seniors N3 à Pleyber-Christ puis 1 an à Landerneau

En cadette on a créé une entente avec Auray pour jouer en région. Et je faisais les matchs en même temps avec les seniors régions de l’UCKNEF.

2 ans à l’Etoile de St Laurent à Brest en N2, en N3 et parfois en région.

A 18 ans je suis allée à St Avé en seniors car l’UCKNEF est descendu. J’y suis restée jusqu’en 2013.

Depuis 2013 j’étais au Hyères Toulon Var Basket HTV en N3 et cette année c’est retour aux sources.

J’ai fait 2 saisons off avant de reprendre cette année à l’UCKNEF.

 

Quelles sont, pour vous, les valeurs qu’on retrouve à l’UCKNEF ?

 

Justine et Lise : L’esprit d’équipe et de partage. C’est un club où on s’intéresse vraiment à toi. Un club qui bouge, dynamique. Qui devient de plus en plus soudé.

 

Cathy : Les dirigeants sont vraiment bien, il y a un bon président avec une super équipe autour. Ils savent ce qu’ils font et où ils vont.

 

Quels projets basketballistiques ?

 

Cathy : Venir voir les filles jouer cette année, encourager l’équipe.

 

Justine et Lise : Que l’équipe 1 féminine monte. Ensuite si on gagne la coupe du Morbihan « Jacky Pruvost » ce sera bien pour notre équipe et ça fera plaisir à notre mère et à Jean Luc. Mais gagner le championnat, c’est vraiment notre objectif principal.

 

Cette année promet d’être riche en actions du coté des filles avec les objectifs de l’équipe 1 (la montée en ligue régionale, la coupe du Morbihan Jacky Pruvost, le resto du président si 0 défaite…). Mais également la montée de l’équipe 2 et la viabilité de l’équipe 3 ! Quel beau programme ! Elles auront donc besoin de vous pour les supporter. Et nous savons quel plaisir ce sera pour certains de voir les sœurs Le Priellec, évoluer côte à côte sur le parquet du Bondon.